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dimanche 4 octobre 2009 à 08:29
Lettre de l'association Stéphane Lamart à Bougrain-Dubourg de la Ligue pour la Protection des Oiseaux
implication dans des tueries d'oiseaux.
source http://cousin.pascal1.free.fr/lpo_lettre1.pdf
Monsieur le Président, Nous sommes une association de protection des animaux domestiques ou sauvages, avec ou sans propriétaire, déclarée depuis plus de cinq ans. Nous avons longtemps hésité à vous écrire pour éviter toute polémique ou dissension dans le camp des protecteurs des oiseaux mais des évènements appris récemment par la presse nous font sortir de notre réserve pour vous dire : Stop. Que « votre » association arrête d'implanter des nichoirs à faucon pèlerins en zone urbaine, de vendre cette idée aux municipalités en présentant cette action comme méthode naturelle pour éliminer les pigeons (un faucon pèlerin consommerait 300 pigeons par an). Depuis quelques années des sites industriels ou agricoles, des villes (sur leurs églises) se sont laissé séduire. On implante le(s) nichoir(s) dans les endroits stratégiques où les pigeons stationnent de façon naturelle (lieux de nidification ou sources régulières de nourriture). Et les pigeons subissent parfois de lourdes pertes sur certains sites (industriels principalement en raison de leur architecture spécifique). On crée ainsi une situation artificielle qui engendre une spécialisation du faucon pèlerin en tueur de pigeons.
la suite http://cousin.pascal1.free.fr/lpo_lettre1.pdf
en savoir plus pour les pigeons ici : http://cousin.pascal1.free.fr/faucon.html
La LPO préconise l'abattage de certains oiseaux, la preuve :
En 2006, la LPO a lancé une grande enquête nationale sur les espèces d'oiseaux que l'on qualifie d'« invasives » en France, et dont le rapport vient d'être remis au ministère de l'Ecologie.
L'enjeu actuel, prôné par la plupart des organismes de conservation de la nature est que la limitation, voire l'éradication, doivent être les démarches à envisager en priorité. Dans ce contexte de principe de précaution, il est conseillé d'agir vite, sans attendre une démonstration du carcatère nuisible de l'espèce invasive.
Tuons d'abord, on verra bien ensuite, détruisons, il en restera bien quelque chose.
voir le document qui le prouve http://cousin.pascal1.free.fr/ornithos_2007_lpo.pdf
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