ban  
  Accueil   Accueil  | forum   Forum  | Livre d'or   Livre d’or  | Contact   Contact  | Liens Web   Liens Web  
 
Menu general :
 
   
 
Forum :
 
 

 
 
 
 
 

Index des articles > Articles de presse > Une derniÚre course avant l'hiver

 
 
Une derniÚre course avant l'hiver
 
 

Article posté par ΩFrançois.
Paru le vendredi 15 août 2014 à 08:26
Vu 849 fois.
Note : etoiles4 (1 vote)

Une derniÚre course avant l'hiver



logoUAOK.jpg mini_140815084738265805.jpg Vendredi 15 août, les pigeons feront leur dernière course de la saison à destination de NaturAgora. Le public est convié à les encourager. Le site de NaturAgora de Barenton-Bugny accueille ce vendredi 15 août, le dernier concours de la saison colombophile. Pour l’occasion, cent quarante jeunes pigeonneaux partiront d’Auxerre le matin pour rallier en quelques heures le site de NaturAgora. Comme dans toute course, le but est d’arriver le premier au pigeonnier ! Ces derniers jours, les volatiles ont enchaîné les vols d’entraînement, chaque matin, sous l’½il avisé de Denis Chevrin. « Tous les matins, je les lâche, explique l’homme en charge des jeunes champions.Ils volent pendant deux heures environs et sur les coups de midi, ils rentrent au pigeonnier. » Un vrai sport En pigeon Denis Chevrin s’y connaît.« J’en ai toujours eu ou presque, j’ai une licence de colombophile depuis 1974. » Chez lui, l’amour du voyageur ailé et le goût de la compétition cohabitent depuis toujours car « c’est un vrai sport. Lorsque vous voyez arriver votre animal au bout de plusieurs heures de course, cela vous fait toujours quelques chose. » Vendredi matin, il fera partie du convoi qui mènera les pigeonneaux à Auxerre. Lâchés vers 9 heures, ils devraient arriver à NaturAgora aux alentours de 12 h30, si tout se passe bien. « L’environnement est de plus en plus hostile au pigeon voyageur. Ils sont très sensibles aux ondes, la multiplication des téléphones portables, de satellites perturbent leur sens de l’orientation. » Les futurs champions suivent un entraînement très sérieux pour parvenir à parcourir sans encombre ces longues distances. « On commence par cinq puis dix kilomètres. Après on monte jusqu’à cinquante kilomètres, poursuit le spécialiste. Enfin, on passe à cent kilomètres. » Le résultat de ce travail apparaîtra, vendredi, à l’heure de l’arrivée.