| |
|
Colombophilie : Marcel Combot cultive la passion des pigeons |
|
| |
Article posté par ΩFrançois.
Paru le mardi 29 avril 2014 à 22:45
Vu 924 fois.
Colombophilie : Marcel Combot cultive la passion des pigeons
Transmis par Luc :
Trois questions à ...
Marcel Combot, nommé président d'honneur du Messager léonard, club colombophile.
La passion première de l'élevage vous a-t-elle quitté pour abandonner la présidence ?
Pas du tout. Lorsque j'ai créé Le Messager léonard, en 1990, il n'était pas dans mes objectifs de demeurer président à vie de ce club. Avec quelques amis, l'envie nous a pris de fédérer les moyens pour participer aux compétitions. La colombophile n'est pas une pratique très usitée dans notre région, bien loin des métropoles et grandes villes. Si je suis resté à la tête du club, c'est un peu par défaut de candidatures, au fur et à mesure des années. Thomas Byrne a bien pris le relais, pendant deux ans, mais le manque de temps lui a été préjudiciable. J'ai repris du service jusqu'à ce que Daniel Sabella accepte de me remplacer, dernièrement.
Cette fonction ne vous manque- t-elle pas déjà ?
Je ne quitte pas l'association, et n'abandonne pas l'élevage. À 73 ans, je ne saurai me passer de mes protégés qui m'ont procuré de grandes joies. Leurs performances sont les miennes. Il est certain que la passion demeure, mais j'ai besoin, aujourd'hui plus qu'hier, de temps pour ma famille. Je fais la part des choses et réalise que j'ai eu la chance de pouvoir vivre une passion à fond pendant ces vingt ans de présidence et de partage. Mon remplaçant connaît aussi bien que moi les arcanes de la colombophilie. Il est membre depuis 2000 du club.
Que lui conseillez-vous pour durer autant que vous à la présidence ?
Il serait prétentieux de ma part de vouloir encore avoir les rênes. Daniel les a prises en connaissance de cause et peut toujours compter sur mon expérience s'il le désire. Daniel Sabella intervient dans le débat : « Marcel est plus qu'utile aujourd'hui au sein du club. Il a su lancer un club à Saint-Pol, le tenir à bout de bras, même pour une poignée de passionnés. Sans lui, je ne serai pas à sa place. La colombophilie à Saint-Pol lui doit beaucoup plus qu'il n'imagine. » |
|
| |
Accueil |
Forum |
Livre d’or |
Contact |
Liens Web
