ls plaident pour une pratique « raisonnée et respectueuse » de la chasse au pigeon ramier, que l'on appelle aussi palombe. L'an dernier, l'Aspaf (Association de protection de la faune sauvage) a introduit à cet effet un référé suspensif devant le tribunal administratif de Nîmes. Objectif : empêcher la poursuite de la chasse au ramier après la date de fermeture officielle, fixée cette année au 10 février. Une directive européenne consacrée aux oiseaux migrateurs, dont le ramier, spécifie en effet qu'ils ne peuvent être chassés pendant les périodes de retour vers leurs lieux de reproduction. Mais, en ce domaine aussi, il est des exceptions qui confirment la règle. Avec l'aval d'une commission dans laquelle figurent notamment des représentants de la Direction départementale de l'agriculture, de l'Office national de la chasse, de la Fédération des chasseurs, et des associations de protection de la nature (très minoritaires), le préfet peut classer le ramier parmi les espèces nuisibles. Il s'appuie sur les dommages potentiels que ce migrateur est susceptible de produire aux cultures. Dès lors qu'il est considéré comme nuisible, le ramier peut être détruit dans tout de département. L'Aspaf ayant été déboutée fin août, le préfet a donc pris un arrêté autorisant le tir jusqu'au 31 mars. Ce que regrette aussi le centre ornithologique du Gard, qui remarque : « Dans les Pyrénées-Orientales, le ramier n'est plus considéré comme un nuisible. La cohérence voudrait que l'on fasse la même chose ici. » Se présentant comme défenseur de la nature et chasseur occasionnel, un lecteur écrit : « La fédération de chasse du Gard invoque des dégâts importants causés aux cultures par cet oiseau. Dégâts jamais constatés, notamment dans les cols cévenols, où ils doivent être conséquents, les Cévennes étant en effet une grande région de culture ! » Contactée, la Fédération de chasse s'est refusée à communiquer le bilan des dégâts ou le montant des indemnisations éventuelles allouées aux agriculteurs, renvoyant au dossier administratif. La polémique n'est pas nouvelle. Jusqu'ici, elle provoquait plutôt une poussée de fièvre en Aquitaine et dans le Nord, où la chasse à la palombe constitue une tradition séculaire. Au point que l'Association des chasseurs de pigeons et oiseaux de passage du Nord, présidée par Frédéric Nihous, pour qui la défense de la chasse est pourtant une croisade, a lancé une pétition demandant le retrait du ramier de la liste des espèces nuisibles dans le Nord « pour mettre fin aux massacres opérés pour ce motif au printemps ».
je pense qu'il serait plus judicieux de ralonger la période de chasse à la palombe début mars en sorte de montrer au agriculteur et au chasseur que l'on travail dans le même sens comme cela ont reduirais légerement la population (bon pour les cultivateurs) et les chasseurs peuvent en profité avant quelles se reproduisent fin mars début avril. à méditer.
bonjour à vous venez visitez mon blog:http://0chinoisvert0.skyrock.com/ très heureux d'être sur ce blog d'amis des pigeons voyageurs.
il font nimporte quoi ,en seine et marne sur claye souilly, mitry mory ,compan ,vilepinte il y a deja des cabanes en toles dans les champs ,pour chaque pigeons de tuer ENTRE mai et aout ,COMBIEN d oeufs et de jeunes vont crevees dans les nids, et nos voyageurs au passages ? ils doivent avoire cheaux au plumes ,seine et marne ils fauts eradiques tous SANGLIER , les batueS adeministrativeS sang chargeS , se nest pas pour autemps que le permis de chasse ,timbres , bages ou boutons ,seront MOIN CHERE ou GRATUITES meme si ils y a plus rien a chasser,et pour un prix dune action de chasse exorbitente , ET SURTOUT CITOYEN NOUBLIER PAS D ALLER VOTER ILS COMPTES SUR NOUS POUR CONTINUER bruno
Accueil |
Forum |
Livre d’or |
Contact |
Liens Web
(2 votes)
