Lors de la cérémonie des v½ux organisée à la mairie, José Mansel a été mis à l’honneur pour son titre de champion de France de colombophilie (moins de 500 km). Ce passionné de pigeons a transmis « le virus » à toute la famille
« Mon père avait des pigeons en 1975. J’avais 11 ans et je les soignais, explique José Mansel, nouveau champion de France de colombophilie. En 1980, je faisais les concours avec sa licence. J’ai arrêté un moment quand je me suis marié car j’habitais à Saint-Omer. En 1990, je faisais les concours avec mon frère car il faut être deux pour bien jouer, pour les faire voler une heure le matin et une heure le soir. »
« Son mérite est d’autant plus grand que le championnat en 2015 était très relevé. Le champion 2014, qui est joueur professionnel, a fait le même nombre de points que l’année dernière et pourtant il a fini quatrième », souligne Marcel Leroy, de la Fédération colombophile française.
« J’avais les trois meilleurs pigeons du Nord - Pas-de-Calais. Tous les dimanches, ils étaient en tête », note José Mansel, pour qui ce championnat est aussi une affaire de famille. Il a su trouver en ses proches une aide précieuse.
Concours sur de plus longues distances
« L’an passé, j’ai eu des problèmes de santé. Jessica, Alex et Quentin (sa fille, son gendre et son fils) se sont occupés des pigeons. Sans eux, je n’aurais pas pu gagner. »
Jessica aide son père depuis son plus jeune âge. « Elle nettoie et prépare les pigeons aussi bien que moi », estime-t-il. Très occupée par son travail et ses deux enfants, elle a passé le relais à Alex, son mari. C’est lui qui amène les pigeons aux concours.
José Mansel conclut : « Quand de nouveaux pigeons seront prêts, j’essaierai de jouer sur des distances plus longues, jusqu’à 700 km. »
La colombophilie
En France, on recense 12 000 colombophiles. La moitié d’entre eux sont basés dans le Nord - Pas-de-Calais.
Si tous peuvent prétendre au titre de champion de France, comme José Mansel, peu y parviennent car il faut des premiers prix dans des concours où il y a plus de 1 000 pigeons.
Ce sont les cinq meilleurs concours qui permettent de départager les participants et de désigner le champion de France.
Lors de la cérémonie des v½ux organisée à la mairie, José Mansel a été mis à l’honneur pour son titre de champion de France de colombophilie (moins de 500 km). Ce passionné de pigeons a transmis « le virus » à toute la famille
« Mon père avait des pigeons en 1975. J’avais 11 ans et je les soignais, explique José Mansel, nouveau champion de France de colombophilie. En 1980, je faisais les concours avec sa licence. J’ai arrêté un moment quand je me suis marié car j’habitais à Saint-Omer. En 1990, je faisais les concours avec mon frère car il faut être deux pour bien jouer, pour les faire voler une heure le matin et une heure le soir. »
« Son mérite est d’autant plus grand que le championnat en 2015 était très relevé. Le champion 2014, qui est joueur professionnel, a fait le même nombre de points que l’année dernière et pourtant il a fini quatrième », souligne Marcel Leroy, de la Fédération colombophile française.
« J’avais les trois meilleurs pigeons du Nord - Pas-de-Calais. Tous les dimanches, ils étaient en tête », note José Mansel, pour qui ce championnat est aussi une affaire de famille. Il a su trouver en ses proches une aide précieuse.
Concours sur de plus longues distances
« L’an passé, j’ai eu des problèmes de santé. Jessica, Alex et Quentin (sa fille, son gendre et son fils) se sont occupés des pigeons. Sans eux, je n’aurais pas pu gagner. »
Jessica aide son père depuis son plus jeune âge. « Elle nettoie et prépare les pigeons aussi bien que moi », estime-t-il. Très occupée par son travail et ses deux enfants, elle a passé le relais à Alex, son mari. C’est lui qui amène les pigeons aux concours.
José Mansel conclut : « Quand de nouveaux pigeons seront prêts, j’essaierai de jouer sur des distances plus longues, jusqu’à 700 km. »
La colombophilie
En France, on recense 12 000 colombophiles. La moitié d’entre eux sont basés dans le Nord - Pas-de-Calais.
Si tous peuvent prétendre au titre de champion de France, comme José Mansel, peu y parviennent car il faut des premiers prix dans des concours où il y a plus de 1 000 pigeons.
Ce sont les cinq meilleurs concours qui permettent de départager les participants et de désigner le champion de France.