Saint-Martin-en-Campagne : la grande passion de Jean-Pierre Labbe, la colombophilie
Paris NORMANDIE
Il les aime ses pigeons, il les chouchoute Jean-Pierre Labbe. Depuis l’âge de 16 ans, celui qui est désormais retraité artisan, à la passion de la colombophilie. Un virus attrapé lors de son premier travail, dans la ferme Bouteiller à Auffay.
Ce sont, en effet, les propriétaires de cette exploitation qui avaient la passion des concours de pigeons et qui la lui ont transmise. Ainsi que leurs connaissances en la matière.
Il a effectué son premier concours sur Vendôme (Loir-et-Cher) avec un seul pigeon engagé. Il n’a été de retour à Sévis qu’un an après... Puis les concours se sont enchaînés, et l’expérience.
Actuellement, il consacre une heure par jour à sa centaine de pigeons : « Les nourrir, surveiller les naissances qui arrivent environ quatre fois par an, les baguer à 8 ou 9 jours... Pour les concours chacun possède une bague électronique qui lui permet d’être détecté dès son retour au nichoir. Une sacrée amélioration car avant il fallait rester posté jusqu’à l’arrivée du dernier et le remettre dans sa cage pour enregistrer son temps. » « Ces pigeons sont entraînés pour faire 500 km. On perd environ un pigeon par concours, ça en représente six depuis début 2015... »
Jean-Pierre Labbé souhaiterait faire partager sa passion dans les écoles, les expos, et faire quelques lâchers de pigeons à l’occasion de manifestations diverses.
Il les aime ses pigeons, il les chouchoute Jean-Pierre Labbe. Depuis l’âge de 16 ans, celui qui est désormais retraité artisan, à la passion de la colombophilie. Un virus attrapé lors de son premier travail, dans la ferme Bouteiller à Auffay.
Ce sont, en effet, les propriétaires de cette exploitation qui avaient la passion des concours de pigeons et qui la lui ont transmise. Ainsi que leurs connaissances en la matière.
Il a effectué son premier concours sur Vendôme (Loir-et-Cher) avec un seul pigeon engagé. Il n’a été de retour à Sévis qu’un an après... Puis les concours se sont enchaînés, et l’expérience.
Actuellement, il consacre une heure par jour à sa centaine de pigeons : « Les nourrir, surveiller les naissances qui arrivent environ quatre fois par an, les baguer à 8 ou 9 jours... Pour les concours chacun possède une bague électronique qui lui permet d’être détecté dès son retour au nichoir. Une sacrée amélioration car avant il fallait rester posté jusqu’à l’arrivée du dernier et le remettre dans sa cage pour enregistrer son temps. » « Ces pigeons sont entraînés pour faire 500 km. On perd environ un pigeon par concours, ça en représente six depuis début 2015... »
Jean-Pierre Labbé souhaiterait faire partager sa passion dans les écoles, les expos, et faire quelques lâchers de pigeons à l’occasion de manifestations diverses.