11 novembre, au monument aux morts, près de l’Ă©glise, François Meresse, grand colombophile, instructeur national colombophile et premier juge de France prĂ©pare son messager pour l’inauguration de la stèle du pigeon voyageur.
11 novembre, au monument aux morts, près de l’Ă©glise, François Meresse, grand colombophile, instructeur national colombophile et premier juge de France prĂ©pare son messager pour l’inauguration de la stèle du pigeon voyageur. « C’est en mĂ©moire de mon Ă©pouse Yvonne Meresse dĂ©cĂ©dĂ©e en 2008. Elle a tenu la bibliothèque durant 32 ans », confie-t-il. avec Ă©motion. Mais surtout pour « le dernier lâcher de pigeons du commandant Raynal Ă Fort de Vaux durant la bataille de Verdun, du 4 juin 1916, pour appeler les renforts ».
Des messagers essentiels
Daniel Goczkowski, le premier magistrat a soulignĂ© l’importance des pigeons dans la grande guerre : « cette stèle est Ă la mĂ©moire des poilus colombophiles morts Ă Verdun et en souvenir des pigeons voyageurs. Ce messager Ă©tait une substitution aux techniques les plus sophistiquĂ©es ». Et de prĂ©ciser « le financement de la stèle s’est effectuĂ© avec la trĂ©sorerie sociĂ©tĂ© de colombophile Ă©vinois ».
Reconnaissance de la nation
Après la Marseillaise chantée par les élèves des écoles de la commune, le président des anciens combattants, Jean-Claude Tonnerre a épinglé la médaille de la reconnaissance de la nation pour service rendu en Algérie à Gaby Leglaz, Louis Flinois, François Czubek, Claude Rémy, Gilbert Moreau, Victor Butruille, Edmond Wojtera, André Dehaies, Jean Marie Michaux et Jacques Montagnèse. De retour à la salle Dutilleul, le maire a remis à François Meresse la médaille du mérite et du dévouement.